"Nous n'avions pas le choix" (en entier)
Les chefs dans le Caucase doivent cesser d'utiliser la force militaire et développer un espace de paix durable.
Les évenements de la semaine passée en Ossétie du sud sont propice à choquer et à heurter quiconque.
Déjà, des milliers de personnes ont péris, des dizaines de milliers sont devenus des réfugiés, et des villes et villages sont en ruines. Personne ne eput justifier ces perte de vie et ces destructions. C'est un avertissement à tous
Les racines de cette tragédie remontent à la décision des chefs séparatistes géorgiens en 1991 d'abolir l'Ossétie du sud, alors autonome
A chaque fois, succèssviement, les leaders géorgiens ont tenté d'imposer leur bon vouloir par la force -aussi bien en Ossétie du Sud qu'en Abkhazie, où le problème de l'autonomie est similaire- , cela a seulement la situation bien pire.
Tout même, il était encore possible de trouver une solution politique. Clairement, le seule manière de résoudre le problème sud-Ossète à ce sujet étaient les moyens pacifiques.
Les chefs d'Etat géorgien ont vite ignoré cette clé principale.
Ce qui s'est passé la nuit du sept août va au delà de toute compréhension. Les militaires géogiens ont attaqué la capitale (Tskhinvali) de l'Ossétie du sud
avec de multiples armes conçus pour dévaster de grandes régions.
La Russie devait répondre.
accuser la Russie d'agression contre la " petite, Géorgie sans défense" est non seulement hypocrite, mais montre aussi un manque d'humanité.
Les chefs politiques géorgiens ne l'a fait que parcequ'ils ont perçu un soutien et des encouragements de beaucoup de puissances étrangères.
Les forces armées géorgiennes furent entrainés par des centaines d'instructeurs américains et ses equipements militaires très sophistiqués ont été achetés en nombre à des pays (étrangers).
Cela, ajouté à la promesse d'adhésion à l'OTAN ont enhardis les dirigeants géorgiens.
Maintenant que l'assaut miltiaire a été mis en déroute, tant le gouvernement géorgien que ses partisans devrait repenser leur position.
Quand les problèmes del 'Ossétie du sud et de l'abkhazie ont d'abord flambé, j'avais proposé qu'ils soient installés par une fédération qui accorderait une large autonomie aux deux républiques.
Cette idée a été écartée, particulièrement par les géorgiens. Les attitudes ont progressivement changé, mais après la semaine dernière, cela sera beaucoup plus difficle de passer le même accord sur de telles bases.
Les petits pays du Caucase ont une véritable histoire du fait de leur vis commune.
Il a été démontré qu'une paix durable est possible, que la tolérance et la coopération peut créer des conditions de vie normale et de développement. Rien n'est plus important. Les leaders politiques de la région doivent réaliser cela. Au lieu d'utiliser la force(militaire), ils devraient consacrer leurs efforts à construire le fondement d'une paix durable
Pendant les quelques derniers jours, certaines nations occidentales ont pris position, (les avis dans) le conseil de sécurité de l'ONU, ont été loin d'être équilibrés.
Par conséquent, le conseil de sécurit n'a pas pu agir efficacement dès le début du conflit. En déclarant le Caucase,- une région qui est à des milliers du continent américain- une sphère de ses "intérêts nationaux", les Etats Unis ont commis une sérieuse bévue. Bien sûr, la paix dans le Caucase est dans l'intérêt de tout le monde. Mais c'est simplement le sens commun de reconnaitre que la Russie est implanté là par la la géographie commune et des siècles d'histoire en commun . La Russie ne cherche pas une expansion territoriale mais a des intérêts légitimes dans cette région.
Le but à long terme de la communauté internationale est de créer un système sub-régional de sécurité and de coopération qui rendrait la moindre provocation et la possibilité de crise comme celle ci impossible. Construire ce type de système serait un challenge et pourra seulement être accompli avec la coopération des pays de la région. Les nations étrangèresà la région pourraient peut être aider, mais seulement s'ils prennent une position équitable et objective.
Une leçon des récents événements est que les jeux géopolitiques sont dangereux partout, pas seulement dans le Caucase..